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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 22:31

 

Dans la vie, il nous arrive parfois des choses tragiques.

Il nous arrive parfois des choses magiques.

Nous suivons notre cœur, mais lui ne nous suit pas toujours.

Nous survivons parfois en faisant des détours.

Nous sommes à demi-mot des puzzles à morceaux.

Faits pour se reconstituer, se briser, recommencer, ajouter de nouvelles pièces

A cette complexité.

Qu'en est-il du reste ?

Ce n'est que de l'air, ce n'est que de l'eau.

D'un désir elles naissent, la volonté insuffle Vie, la volonté les tarit : le choix leur donne forme et les transforme.

Nous sommes des artisans recherchant la perfection. Notre œuvre

appelée bonheur est souvent inachevée avant la fin du temps imparti. Une course contre la montre ? Non.

Ceux qui ont compris le véritable but créent une œuvre par seconde, chaque œuvre étant plus parfaite que celle qui la précède.

 

 

Les êtres sont pales

Et les murs éphémères

Tournent tour à tour les pales

De la roue des mystères

Abandonne-toi aux torpeurs

Sois sans crainte et Dors :

Hydrocéphale est la Terre.

La toile psalmodiante qui jadis entravait tes mouvements

Est à présent une rose des vents

A jamais terrassée par l'érosion.

Va ! Ton esprit s'envole et c'est une éclosion.

 

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3 janvier 2012 2 03 /01 /janvier /2012 22:28

 


 
 

 

Ne cesse jamais d'avancer

Ne cesse jamais de rêver

Ne cesse jamais d'espérer

Ne cesse jamais d'aimer.

 

Ta quintessence est essentielle, ta nature inimitable, ta présence irremplaçable.

Tu es lumineuse et chaude comme un rai de lumière

Arborant autant de facettes que le Diamant, une si jolie pierre...

Pourtant tu l'es tout autant, et à elle je te préfère.

 

Le sillon de ton passage, quand nos chemins se sont croisés,

Rappela à mon cœur et mon âme

L'existence de mille couleurs oubliées.

D'une saveur inégalable furent chaque instant où je t'ai côtoyé.

 

Tant de choses qu'on a partagé, Tant de mots qui nous lient

Regards complices et Télépathie :

Une telle Symbiose ne peut être que Magie.

 

Tout ça pour dire que pas un seul instant je ne regrette d'avoir rencontré une fille si folle, si adorable, si Elle.  

De jour en jour tu ne cesses de m'étonner, d'évoluer.

Je suis fier de toi, une fois de plus x)

Tu es magnifique, exceptionnelle et je serai toujours à tes côtés quoi qu'il arrive.

 

Ne l'oublie jamais. Je t'aime fort ma Kao ! :3 <3

 

Papillon Doré, je suis et serai pour l'éternité,

Ton Renard Dévoué.

 

NARU

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 20:49

 

Un fléau de lune, un sursaut de lumière

Un doux son de clochettes danse dans tes paupières

Comme un papillon éphémère

Qui se jette dans les feux de l'enfer

Ton cœur tangue et chavire

Tu ne sais pas si tu dois le suivre

Tu hésites...

Tu doutes...

Ce sont des émotions humaines, n'aies pas peur.

Mes caresses sont là pour te rassurer.

Il n'y a plus que moi pour t'aimer.

Il n'y a plus que toi pour m'aimer.

Je resterai près de toi, dans l'ombre

Prêt à te sauver si besoin, sans que tu saches

Que c'était moi, le silencieux sacrifié.

 

Doux sacrifice, pur comme l'Amétrine

Transpercé par l'échine

Je chois sous le poids des années

Aux valeurs abondantes, délicieusement damnées

Tant de bien, tant de mal.

Tant de bien... Tant de mal.

Tant de mal. Tant de bien...

Le sommeil me gagne...

Je me sens partir...

Mes paupières ne tiennent plus...

Je n'ai plus la force...

Je te quitte dans un dernier soupir

Mais celui-ci m'aura tout de même laissé le temps de te dire

Je t'aime...

 

 

 
 

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:15

 

Il était une fois un pantin malicieux. Il était grand, et marchait puis s'arrêtait, plissait les yeux.

Pantin il était, malicieux il demeurait.

Accroché à ses fils, privé de liberté, il s'en inventait.

Sous sa croix il s'agitait,

Et de son bois d'ébène, accomplissait des mouvements empreints d'une grâce singulière.

Il était capable de rire. Mais il ne riait pas. La malice par ses yeux seuls se manifestait.

Il attendait un moment pour rire. Un moment précis.

Il voulait... Courir. Courir sans jamais s'arrêter. Jouir d'une vraie liberté, nouvelle et totale.

Définitive, sans conditions. Être pleinement responsable de lui-même, de sa vie, de son destin,

De sa direction.

S'en suivit une période de réflexion. Comment me débarrasser de ses liens qui me retiennent

Et me brident?

Soudain, il senti sur sa chair de bois, une main chaude. Il tourna la tête et eut à peine le temps de réaliser ce qui se passa pourtant si rapidement.

Une autre main sectionna d'un coup sec, franc, énergique, le fil qui limitait le jeune pantin.

Devant cet éclair tranchant, celui-ci s'écria : « Ah ?! Ah ?! Mais... Que m'arrive-t-il ? Je peux me mouvoir à ma guise ?! »

Il s'élança sans même regarder le jeune homme, qui l'attendit ici. Il courait, il courait ! Il ne voulait plus s'arrêter. Il riait, il riait ! Il riait comme mille pantins ne riraient jamais. Il était si heureux. Cela faisait toute une vie qu'il attendait ce moment !

Il revint pour remercier le jeune homme qui l'avait libéré.

« Mais au fait, comment vous appelez-vous ?

  • je me nomme amour, mais aussi temps, désir, patience, ou encore volonté, mais tu peux m’appeler Ange.

  • Vous m'avez sauvé... Grâce à vous la Malice se répandra à travers tout l'univers. Je le parcourrai de part en part en votre nom. Je vous dois le bonheur.

  • Non, petit pantin. Tu ne me dois rien. Ce que tu crois me devoir, tu ne le dois en réalité qu'à toi-même. Car je ne suis rien d'autre qu'une partie de toi.

  • Comment ?! Comment puis-je à la fois être un pantin et un humain ?!

  • C'est simple. Plusieurs facettes de ton cœur, tes sentiments, se sont matérialisés et m'ont créé. Tu l'as souhaité si fort que je suis apparu. Tu es un roi. Désormais, tu règnes sur tous les pantins par l'absence du handicap de ton espèce, et cela, tu ne le dois qu'à toi. Va, tu es libre ! »

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:14

 

Au dela de notre coeur s'étend d'incroyables possibilités. Notre imagination peut nous conduire dans un monde ou règne la paix, dans un monde ou il y a la guerre et ou nous devons combattre, dans un monde ou seul nous comptons, dans un monde ou seuls les autres comptent. On peut être guerrier, âme en peine, le faucheur lui même, ou bien... un boulanger. Chaque personne de cet univers rêve, a rêvé ou rêvera un jour. Ca lui sauvera peut-être la vie, qui sait. Car l'imaginaire vient toujours apporter une bouffée de poussière atemporelle, de magie... A qui sait l'aqcueillir. Il faut avoir l'esprit ouvert pour cela.

 

Un jour dans une clairière de ToomScale, une petite fille vivait recluse avec ses parents. Elle s'appellait Héléna. Elle en avait assez que tout le monde lui parle comme à un chien et voulait qu'on la respecte. Personne ne la comprenait. Alors elle décida de partir. Elle n'avait que 11 ans, mais était plus intelligente que la plupart des adultes qu'elle cotoyait. Comme quoi les enfants en savent parfois beaucoup plus que l'on ne le croit... Elle fit donc ses affaires, et partit en abandonnant toute sa vie derrière elle. Elle partit pour un pays lointain ou les tigres parlent et où les chats volent. Personne n'y croit mais cette réalité lui parait bien plus réelle que ce monde absurde où les hommes s'enferment dans des cages et se détruisent les uns les autres. Alors pourquoi ne pas essayer ? Le premier endroit où elle voudrait aller voir serait NaruLand. Un endroit où on les gens ne sont jamais seuls. Elle gravi les montagnes, couru dans les sentiers pleins de roses, se coupa au passage mais elle s'en fiche, car elle ira bientôt à NaruLand et elle sera libre... Elle court, court, sans s'arrêter. Elle est épuisée et s'écroule sur le sol. Elle sent une main se poser sur son épaule : "Salut ! Tu as fait bon voyage ?". Incroyable. Elle y est ! Elle est à NaruLand ! Elle regarde tout autour d'elle, elle voit le soleil et la lune l'un à côté de l'autre, elle voit des horloges follent qui s'arrêtent lorsque les gens le souhaitent, elle se retourne pour admirer la première personne qui lui à parlé comme à une personne de valeur. Et elle voit... Un ours. Elle est si heureuse qu'elle n'arrive pas à parler alors elle bafouille quelque chose et l'ours, la voyant génée, l'enlace de ses grandes papattes . Elle est si heureuse... Qui eut crut que la première et seule personne qui reconnaitrait sa valeur serait un animal. Elle se surprit à penser tout haut et à rire : pas surprenant, vu comment l'humain est une ordure! haha!" Puis elle jeta un regard à l'ours qui parut un peu déboussolé par cette dernière remarque. "Euh... Désolée... C'est une longue histoire...^^" " Héléna raconta donc son histoire à l'ours. Il lui raconta à son tour combien il a été lui même victime des humains et de leur façon de penser.

L'ours : "Mais assez parlé. Et si on s'amusait pour une fois, hein ? Je vais te montrer le monde de Naru".

Héléna : mais qui est ce Naru ?

L'ours : C'est un magicien qui a souffert de la solitude tout comme toi. Mais il a décidé de créer un monde où les humains ne seraient plus jamais seuls.

Héléna : Je vois ^^" (Quel taré... Mais j'aime ca.)

L'ours : Bon. Voici le premier jeu que Naru à inventé. La chasse aux chats ! Je t'ai amené dans la clairière aux chats volants. Prends cette épuisette et attrape les ! C'est comme la chasse aux papillons tu va voir c'est marrant ^^

Héléna : O... Ok. Euh... Yaaaaaaaaaa ! ><

Oh mon dieu j'ai attrapé un chat volant ! Un chat volant !! Tu te rends compte Monsieur Ours ? Quand je vais raconter ça a mes amis ils seront... Ah oui c'est vrai je n'ai jamais eu de vrais amis.

 

Monsieur Ours : Je suis désolé. Mais essaye de les oublier un moment et de jouer avec moi tu veux ? Et appelle moi Kodoku s'il te plait, monsieur Ours ca fait un peu trop formel ^^

Héléna : D'accord...

 

Héléna s'amusa comme elle put, puis ses souvenirs malheureux laissèrent place à un laisser aller total

 

Héléna : Youhou ^^ J'ai faim maintenant... Et si on allait manger un morceau ?

Kodoku l'ours : Bonne idée ! Je vais t'amener dans un endroit que je suis sur que tu va aimer ! ;)

Héléna : Cool !

 

l'ours demanda a héléna de fermer les yeux jusqu'a ce qu'il lui indique de les rouvrir

 

Kodoku : On y est presque... Voila ! Tu peux les ouvrir !

Héléna : Waaaaaaaaaaaow ! C'est magnifique !

 

Héléna se trouvait sur un pont argenté façonné avec des gravures dorées, devant une cascade multicolore de poussière d'étoile sulfureuses, l'endroit scintillait et un énorme croissant de lune se trouvait au dessus d'eux.

 

Héléna : Géant ! On est où ?

Kodoku : Tu te trouves devant la cascade du temps. Ici, le temps ne s'écoule jamais. Un jour, Naru est venu s'asseoir sur le pont. Ce doux paysage l'a ému. Il a cristalisé ce moment à tout jamais. Si tu regarde attentivement, il y a deux cascades. La cascade de poussière d'étoile est superficielle, elle enveloppe une cascade d'eau qui elle s'est arrêtée.

Héléna : Wow. L'eau est suspendue dans sa chute. Qu'est-ce qu'on mange ?

Kodoku : Putain mais quelle morfale ! Haha! Tu me rappelle Naru quand il était encore vivant.

Héléna : Il est mort ??

Kodoku : Oui. Sa magie était si puissante qu'elle a échappé à son controle. Sa solitude s'est personnifiée, s'est incarnée en avatar d'ombre et l'a tué.

Héléna : Pas cool... Je suis désolée.

Kodoku : T'en fais pas. Au fond de lui même il voulait en finir de toute façon. Et dire qu'il a créé ce monde pour gosse...

Héléna : Ne dîtes pas ca !

Kodoku : Pardon. Sinon ba on mange des curly celestes marinés au nutella temporel et aussi... Des hamburgers divins du Hakke.

Héléna : Wtf. J'ai plus faim. Je sors de table. Après mûre réflexion je me tire, ce monde est trop fou pour moi j'en ai assez !

 

Héléna : *se réveille en sursaut* HUH ??!?!?

Mais qu'est-ce que... Je suis à l'hopital ?

Mère d'héléna : oui, tu as parlé d'un dernier voyage et tu t'es enfermée dans ta chambre pour prendre pleins de médicaments... Tu as essayé de te suicider et tu as passé 6 mois dans le coma ma chérie. Et ton père n'en à rien à foutre... Bref je t'ai apporté des curly, ton plat préf...

Héléna : NOOOOOOOOOOOON !! ><

tut tut tut tut tuuuuuuuuuut

Médecin : on est en train dla perdre !

après la réanimation

Héléna : Bonjouuuuuuuuuuuuuur tout le moooooonde

la mère : Me fait plus des frayeurs pareilles !

Héléna : Mais t'es conne ca fait depuis 6 mois que chui dans l'coma alors t'as dja expérimenté ce genre de frayeur !

Mère : oh et puis merde va te faire foutre. lui plante un scalpel dans la tête

Héléna : rien à foutre puisque chui ta mère.

Mère : Pardon ? Tu devrais être morte jeune fille à l'heure qu'il est. Et ce scalpel ne s'accorde pas très bien avec ton teint si pâle. u_u

Héléna : Mais j't'en foutrais du teint si pâââale ! *sort de l'hopital, soulève l'hopital d'une main et le jette dans le Rhône alors qu'on est en Angleterre. Oh pi zut, elle trébuche sur elle même et se fait écraser par l'hopital.

Fin.

 

(Bon ok, là aussi j'avais la flemme de continuer l'histoire et j'ai du improviser une fin x) )

note : nouvelle écrite il y a plusieurs années.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:12


Il était une fois une petite fille. Une petite fille seule car ses parents étaient toujours en voyage d'affaire.
Cette petite fille trouvait les autres enfants de son âge ne lui ressemblaient pas assez, alors elle ne les voyait pas.
Elle se sentait seule, jusqu'au jour ou elle vit un homme avec un regard de fou faire tomber une poupée. Une poupée en forme de chat.
Il la vit contemplant la poupée et lui dit "tu peux la garder si tu veux, je n'en ai plus besoin!". Il ajouta un petit rire sournois.
La petite n'en tint pas compte et pris la poupée. Cette poupée illumina sa vie. Elle se dit qu'elle avait enfin un ami qui lui ressemblait.
Depuis ce jour cette poupée devint tout pour elle.
Elle décida de l'appeller sunday, parce quand elle était avec elle la vie avait pour elle autant de saveur qu'un sunday.
Puis, un jour, elle trouva a l'intérieur de la petite poupée une boîte. Elle ouvrit la petite boîte, et alors, surprise.
Il y avait une photo d'un chat ressemblant comme deu gouttes d'eau à la poupée. A côté du chat posait un homme qui dégageait une aura sombre et mélancolique.
Il y avait aussi un mot sur lequel était écrit : "Je t'aimerai toujours, même si tu disparais". La petite était très intelligente.
Aussi décida-t-elle de faire une recherche avec le pc de ses parents. Elle regarda sur le site du JT. Sur les informations récentes, elle trouva quelque chose qui la surprit.
Elle lut alors à haute voix : "27 avril 1984, la mère d'un jeune homme fut tué.
Le jeune homme recut par la poste une lettre qui lui dit de placer son chat dans la boite au lettre si il ne voulait pas être tué à son tour.
Le chat fut torturé et tué. On raconte que le criminel aurait utilisé la peau du chat pour en faire une poupée." La petite se suicida.

 

(Bon ok j'avais la flemme de continuer l'histoire alors j'ai du trouver rapidement un moyen de la terminer x) )

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:08

Vous décidez de vendre un couteau de cuisine.Vous trouverez un nom qui mettra en valeur sa qualité, vous rédigerez un prospectus en utilisant les arguments de nature différente.


 

Ce couteau est... Katégorik. Ses caractéristiques à la pointe de la technologie en font un couteau de premier choix, coupant la chair la plus résistante aussi facilement que la plus craquelante brindille. Ainsi, il ne laisse aucune chance aux aliments, pour votre plus grand bonheur.

 

 

 

Le tranchant du couteau Katégorik n'est comparable en rien à celui des couteaux ordinaires. Il est équipé de micro-lames rotatives à nano-moteurs autoalimentés à l'énergie solaire. Vous n'aurez plus à vous fatiguer en appuyant de toutes vos forces sur votre couteau juste pour couper une simple tranche de pain le matin !

 

 

 

La sécurité que procure le couteau Katégorik est sans pareille : en effet, nos specialistes ont confectionné un manche de couteau d'un genre nouveau. Celui-ci est doté d'une coquille circulaire protégeant la main, à l'image du fleuret d'escrime. Fini les petites coupures récurrentes pour les rêveurs un peu distraits et les malhabiles !

 

 

 

La maniabilité propre au couteau Katégorik est assurée essentiellement par une lame souple et un manche fin et léger. Vous vous surprendrez peut-être même parfois à jouer les épeistes, mais gardez tout de même à l'esprit que ce n'est pas un jouet...

 

 

 

Ce couteau est disponible en une large palette de couleurs et de motifs différents. Vous pourrez enfin vous débarrasser de votre panoplie de couteaux noirs déprimants pour ENFIN les remplacer par quelque chose de plus jovial, voire festif !

 

 

 

Nos couteaux sont à des pris très abordables, allant jusqu'à la moité du prix d''un couteau de cuisine standard. Il existe rarement de nombreuses promotions assez avantageuses en rapport avec nos couteaux (renseignez vous auprès d'un conseiller en magasin pour en savoir plus).

 

 

 

Le coueau Katégorik ne vous décevra pas. Sur ce point, nous sommes... Katégorik.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:07

 

Il faut que j’aille voir Monsieur Death pour lui demander une augmentation car j’ai fait beaucoup d’heures supplémentaires… J’en meurs d’envie car je la mérite mais… C’est Monsieur Death que je vais voir, là… Je réfléchis un petit bout de temps… Puis je me décide, c’est maintenant ou jamais. Je vais le voir. Forcément, il n’est pas la. Je guette son retour dans le couloir. Chance, Mademoiselle Lullaby est dans son bureau, et elle a l’air de plutôt bonne humeur ! Je bavarde alors avec elle pendant un bon paquet de minutes, c'est alors que l’on aperçoit Monsieur Death ! Je trouve vite un prétexte pour sortir du Labo, je lui dis que je dois aller au toilettes (l’excuse classique). Je retourne à mon bureau, je réfléchis à deux fois si je dois oui ou non aller le voir, je pèse le pour et le contre, puis je me décide. Je retourne donc le voir. Il est dans son bureau. Je frappe, il ne lève pas la tête. Je retourne alors à mon bureau attendre quelques minutes, je réfléchis au moment propice ou il pourrait être de meilleure humeur. Je me décide, je retourne le voir, il est dans son bureau. Comme je l’avais prévu il avait fini sa tâche et prenait son café comme à son habitude. Je frappe, il lève la tête avec un signe affirmatif. J’entre alors. Mais à ma plus grande surprise il ne m’offre pas de siège. Étonné par ce manque de tact de la part de mon chef de service, je lui demande si une fille à la rougeole, seul cas possible pour qu’il ne me propose pas de siège. Il me répond non. Je lui demande si deux filles l’ont, il répond encore une fois par la négative. Je lui demande alors si trois filles l’ont car il n’y a vraiment que ce cas de probable, même si je n’y crois pas trop, bien que mon scepticisme m’y amène. Il me répond alors que oui ! Choqué, craignant pour ma vie, je sors précipitamment en laissant toutes mes affaires, renversant son café, et je hurle dans les couloirs ALERTE ROUGE EPIDEMIE DE ROUGEOLE ! Les gens me prennent pour un fou. J’active l’alarme de première urgence et j’enferme Monsieur Death pendant 40 jours. A grands maux les grands remèdes. Puis de toute façon je l’aimais pas ce type. Monsieur Blade le remplace apparemment pendant ce temps. J’ai de la chance, car il a l’air plutôt sympathique. Je réfléchis rapidement, me décide, fonce vers son bureau bien décidé. Je frappe, il lève la tête dans un mouvement affirmatif. J’entre alors, j’ai le cœur qui palpite… Il m’offre un siège, je me dis « ENFIN ! » dans ma tête, je me détends, j’expose mon problème, car cela fait plusieurs années que je fais plein d’heures supplémentaires et que je me débrouille très bien au travail et je stagne. Ce n’est pas une question T60, c’est une autre étude. C’est donc une question d’augmentation, lui expliquais-je. Il me demande si récemment j’ai participé à une grosse étude réussie, ce qui est le cas. J’insiste alors sur ce que je désire, je mets mes compétences et le fait que je mérite une augmentation depuis longtemps en avant. Bien sur, tout ne s’obtient pas en un claquement de doigts, et je ne l’obtins pas. Mais il me donne beaucoup d’espérances en me disant qu’il ne tardera pas à reconsidérer mon cas. J’attends Six mois et je retourne le voir. Ca y est, j’ai mon augmentation ! J’ai maintenant pris la place de Monsieur Death, qui à son retour est plus dégouté que jamais. Maintenant on va inverser les rôles étant donné sa rétrogradation… Je sens que je vais m’amuser !

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:05

 

Les pauvres, pauvres, pauvres hommes… Je n’en peux plus, Anubis… J’étouffe. Quittons la terre. Laissons-les, abandonnons-les. Abandonnons leur monde si triste et au combien illusoire. La culpabilité me ronge… Ecoutes-le, écoutes donc cet humain qui se trouve en ce moment même au paroxysme du contentement, persuadé d’avoir trouvé l’ébauche d’un déclencheur de ce qu’il pense être l’épanouissement total dans le bonheur le plus absolu… Je ne peux pas, je n’en puis plus… Au fond de moi-même mon cœur me dicte de tout lui révéler, il me dicte que je n’aurais jamais dû revêtir cette enveloppe funeste, qui sème la mort sur son chemin… J’ai envie de crier, de pleurer, de dire tout ce que j’ai sur le cœur. Pourquoi les Dieux ont-ils choisi un rôle si démoniaque à leur marionnette si dévouée ? Pourquoi est-ce à moi de porter le coup de grâce par mon silence ? Cette machine infernale ne s’arrêtera donc jamais ? Je… Je vais tout lui dire. Oh et puis non, je ne peux pas. Si, je vais le faire ! Mais que me feront les Dieux si je leur désobéis ? Pourquoi ont-ils choisi en guise de monstre un être avec un cœur de femme ? Les hommes jugent et ne s’arrêtent que sur l’apparence, mais n’essayent pas de comprendre que derrière cette apparence inspirant la crainte réside l’essence de la culpabilité, aux côtés d’un cœur qui aimerait juste aimer normalement un homme, au lieu de devoir causer sa mort… Est-ce donc cela que mon destin ? Tuer indirectement l’homme dont je suis amoureuse ? Finir en tant que bête féroce insensible ? Je suis désolé, Œdipe, je n’ai pas le choix… Je ne l’ai jamais eu. Je ne suis qu’une marionnette qui doit obéir. C’est mon rôle et je dois l’assumer. C’est ça, le destin. Malheureux, toi qui veux le détourner de son cheminement d’origine, tu finiras par causer ta propre perte en réalisant celui-ci même par mégarde ! L’expérience est là pour rappeler à une déesse telle que moi que quelle que soit la ruse et la détermination dont on fait preuve pour combattre son destin, il est impossible de le faire fléchir. Car saches-le, Œdipe, en étant homme, tu demeures par définition impuissance. Et sur ce point, nous sommes égaux. Toi, l’homme, et moi, la déesse. Allez viens Anubis, partons et laissons ce héros consumer l’odeur première du parfum, la joie éphémère, avant de sentir la seconde odeur qui lui brûlera les narines tout le reste de sa vie, le subtil arrière-goût de la désillusion.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:04

 

Le temps, les expériences, les souvenirs,

les galères, les pleurs,

Les cicatrisations des blessures du cœur,

Mais aussi tous les rires, les sourires...

 

Ceux qui étaient là, près de toi,

Pour te soutenir au cas où,

Dans ton cœur inséraient émoi, réconfort,

Rien que par leur joie de vivre, leur écoute ou,

Tout simplement par leur présence, tu te sentais plus fort...

 

Ils te redonnent un second souffle et te font te sentir UN !

Sans eux tu es incomplet,

Ce sont des fragments de toi, ce sont les tiens,

Ta famille que jamais tu n'oublierais,

Sous aucun prétexte car sans eux tu n'es rien.

 

Ils sont ta vie, ils sont toi,

Avec eux, tu le sais, tu le sens : tu as un toit.

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