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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:15

 

Il était une fois un pantin malicieux. Il était grand, et marchait puis s'arrêtait, plissait les yeux.

Pantin il était, malicieux il demeurait.

Accroché à ses fils, privé de liberté, il s'en inventait.

Sous sa croix il s'agitait,

Et de son bois d'ébène, accomplissait des mouvements empreints d'une grâce singulière.

Il était capable de rire. Mais il ne riait pas. La malice par ses yeux seuls se manifestait.

Il attendait un moment pour rire. Un moment précis.

Il voulait... Courir. Courir sans jamais s'arrêter. Jouir d'une vraie liberté, nouvelle et totale.

Définitive, sans conditions. Être pleinement responsable de lui-même, de sa vie, de son destin,

De sa direction.

S'en suivit une période de réflexion. Comment me débarrasser de ses liens qui me retiennent

Et me brident?

Soudain, il senti sur sa chair de bois, une main chaude. Il tourna la tête et eut à peine le temps de réaliser ce qui se passa pourtant si rapidement.

Une autre main sectionna d'un coup sec, franc, énergique, le fil qui limitait le jeune pantin.

Devant cet éclair tranchant, celui-ci s'écria : « Ah ?! Ah ?! Mais... Que m'arrive-t-il ? Je peux me mouvoir à ma guise ?! »

Il s'élança sans même regarder le jeune homme, qui l'attendit ici. Il courait, il courait ! Il ne voulait plus s'arrêter. Il riait, il riait ! Il riait comme mille pantins ne riraient jamais. Il était si heureux. Cela faisait toute une vie qu'il attendait ce moment !

Il revint pour remercier le jeune homme qui l'avait libéré.

« Mais au fait, comment vous appelez-vous ?

  • je me nomme amour, mais aussi temps, désir, patience, ou encore volonté, mais tu peux m’appeler Ange.

  • Vous m'avez sauvé... Grâce à vous la Malice se répandra à travers tout l'univers. Je le parcourrai de part en part en votre nom. Je vous dois le bonheur.

  • Non, petit pantin. Tu ne me dois rien. Ce que tu crois me devoir, tu ne le dois en réalité qu'à toi-même. Car je ne suis rien d'autre qu'une partie de toi.

  • Comment ?! Comment puis-je à la fois être un pantin et un humain ?!

  • C'est simple. Plusieurs facettes de ton cœur, tes sentiments, se sont matérialisés et m'ont créé. Tu l'as souhaité si fort que je suis apparu. Tu es un roi. Désormais, tu règnes sur tous les pantins par l'absence du handicap de ton espèce, et cela, tu ne le dois qu'à toi. Va, tu es libre ! »

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:14

 

Au dela de notre coeur s'étend d'incroyables possibilités. Notre imagination peut nous conduire dans un monde ou règne la paix, dans un monde ou il y a la guerre et ou nous devons combattre, dans un monde ou seul nous comptons, dans un monde ou seuls les autres comptent. On peut être guerrier, âme en peine, le faucheur lui même, ou bien... un boulanger. Chaque personne de cet univers rêve, a rêvé ou rêvera un jour. Ca lui sauvera peut-être la vie, qui sait. Car l'imaginaire vient toujours apporter une bouffée de poussière atemporelle, de magie... A qui sait l'aqcueillir. Il faut avoir l'esprit ouvert pour cela.

 

Un jour dans une clairière de ToomScale, une petite fille vivait recluse avec ses parents. Elle s'appellait Héléna. Elle en avait assez que tout le monde lui parle comme à un chien et voulait qu'on la respecte. Personne ne la comprenait. Alors elle décida de partir. Elle n'avait que 11 ans, mais était plus intelligente que la plupart des adultes qu'elle cotoyait. Comme quoi les enfants en savent parfois beaucoup plus que l'on ne le croit... Elle fit donc ses affaires, et partit en abandonnant toute sa vie derrière elle. Elle partit pour un pays lointain ou les tigres parlent et où les chats volent. Personne n'y croit mais cette réalité lui parait bien plus réelle que ce monde absurde où les hommes s'enferment dans des cages et se détruisent les uns les autres. Alors pourquoi ne pas essayer ? Le premier endroit où elle voudrait aller voir serait NaruLand. Un endroit où on les gens ne sont jamais seuls. Elle gravi les montagnes, couru dans les sentiers pleins de roses, se coupa au passage mais elle s'en fiche, car elle ira bientôt à NaruLand et elle sera libre... Elle court, court, sans s'arrêter. Elle est épuisée et s'écroule sur le sol. Elle sent une main se poser sur son épaule : "Salut ! Tu as fait bon voyage ?". Incroyable. Elle y est ! Elle est à NaruLand ! Elle regarde tout autour d'elle, elle voit le soleil et la lune l'un à côté de l'autre, elle voit des horloges follent qui s'arrêtent lorsque les gens le souhaitent, elle se retourne pour admirer la première personne qui lui à parlé comme à une personne de valeur. Et elle voit... Un ours. Elle est si heureuse qu'elle n'arrive pas à parler alors elle bafouille quelque chose et l'ours, la voyant génée, l'enlace de ses grandes papattes . Elle est si heureuse... Qui eut crut que la première et seule personne qui reconnaitrait sa valeur serait un animal. Elle se surprit à penser tout haut et à rire : pas surprenant, vu comment l'humain est une ordure! haha!" Puis elle jeta un regard à l'ours qui parut un peu déboussolé par cette dernière remarque. "Euh... Désolée... C'est une longue histoire...^^" " Héléna raconta donc son histoire à l'ours. Il lui raconta à son tour combien il a été lui même victime des humains et de leur façon de penser.

L'ours : "Mais assez parlé. Et si on s'amusait pour une fois, hein ? Je vais te montrer le monde de Naru".

Héléna : mais qui est ce Naru ?

L'ours : C'est un magicien qui a souffert de la solitude tout comme toi. Mais il a décidé de créer un monde où les humains ne seraient plus jamais seuls.

Héléna : Je vois ^^" (Quel taré... Mais j'aime ca.)

L'ours : Bon. Voici le premier jeu que Naru à inventé. La chasse aux chats ! Je t'ai amené dans la clairière aux chats volants. Prends cette épuisette et attrape les ! C'est comme la chasse aux papillons tu va voir c'est marrant ^^

Héléna : O... Ok. Euh... Yaaaaaaaaaa ! ><

Oh mon dieu j'ai attrapé un chat volant ! Un chat volant !! Tu te rends compte Monsieur Ours ? Quand je vais raconter ça a mes amis ils seront... Ah oui c'est vrai je n'ai jamais eu de vrais amis.

 

Monsieur Ours : Je suis désolé. Mais essaye de les oublier un moment et de jouer avec moi tu veux ? Et appelle moi Kodoku s'il te plait, monsieur Ours ca fait un peu trop formel ^^

Héléna : D'accord...

 

Héléna s'amusa comme elle put, puis ses souvenirs malheureux laissèrent place à un laisser aller total

 

Héléna : Youhou ^^ J'ai faim maintenant... Et si on allait manger un morceau ?

Kodoku l'ours : Bonne idée ! Je vais t'amener dans un endroit que je suis sur que tu va aimer ! ;)

Héléna : Cool !

 

l'ours demanda a héléna de fermer les yeux jusqu'a ce qu'il lui indique de les rouvrir

 

Kodoku : On y est presque... Voila ! Tu peux les ouvrir !

Héléna : Waaaaaaaaaaaow ! C'est magnifique !

 

Héléna se trouvait sur un pont argenté façonné avec des gravures dorées, devant une cascade multicolore de poussière d'étoile sulfureuses, l'endroit scintillait et un énorme croissant de lune se trouvait au dessus d'eux.

 

Héléna : Géant ! On est où ?

Kodoku : Tu te trouves devant la cascade du temps. Ici, le temps ne s'écoule jamais. Un jour, Naru est venu s'asseoir sur le pont. Ce doux paysage l'a ému. Il a cristalisé ce moment à tout jamais. Si tu regarde attentivement, il y a deux cascades. La cascade de poussière d'étoile est superficielle, elle enveloppe une cascade d'eau qui elle s'est arrêtée.

Héléna : Wow. L'eau est suspendue dans sa chute. Qu'est-ce qu'on mange ?

Kodoku : Putain mais quelle morfale ! Haha! Tu me rappelle Naru quand il était encore vivant.

Héléna : Il est mort ??

Kodoku : Oui. Sa magie était si puissante qu'elle a échappé à son controle. Sa solitude s'est personnifiée, s'est incarnée en avatar d'ombre et l'a tué.

Héléna : Pas cool... Je suis désolée.

Kodoku : T'en fais pas. Au fond de lui même il voulait en finir de toute façon. Et dire qu'il a créé ce monde pour gosse...

Héléna : Ne dîtes pas ca !

Kodoku : Pardon. Sinon ba on mange des curly celestes marinés au nutella temporel et aussi... Des hamburgers divins du Hakke.

Héléna : Wtf. J'ai plus faim. Je sors de table. Après mûre réflexion je me tire, ce monde est trop fou pour moi j'en ai assez !

 

Héléna : *se réveille en sursaut* HUH ??!?!?

Mais qu'est-ce que... Je suis à l'hopital ?

Mère d'héléna : oui, tu as parlé d'un dernier voyage et tu t'es enfermée dans ta chambre pour prendre pleins de médicaments... Tu as essayé de te suicider et tu as passé 6 mois dans le coma ma chérie. Et ton père n'en à rien à foutre... Bref je t'ai apporté des curly, ton plat préf...

Héléna : NOOOOOOOOOOOON !! ><

tut tut tut tut tuuuuuuuuuut

Médecin : on est en train dla perdre !

après la réanimation

Héléna : Bonjouuuuuuuuuuuuuur tout le moooooonde

la mère : Me fait plus des frayeurs pareilles !

Héléna : Mais t'es conne ca fait depuis 6 mois que chui dans l'coma alors t'as dja expérimenté ce genre de frayeur !

Mère : oh et puis merde va te faire foutre. lui plante un scalpel dans la tête

Héléna : rien à foutre puisque chui ta mère.

Mère : Pardon ? Tu devrais être morte jeune fille à l'heure qu'il est. Et ce scalpel ne s'accorde pas très bien avec ton teint si pâle. u_u

Héléna : Mais j't'en foutrais du teint si pâââale ! *sort de l'hopital, soulève l'hopital d'une main et le jette dans le Rhône alors qu'on est en Angleterre. Oh pi zut, elle trébuche sur elle même et se fait écraser par l'hopital.

Fin.

 

(Bon ok, là aussi j'avais la flemme de continuer l'histoire et j'ai du improviser une fin x) )

note : nouvelle écrite il y a plusieurs années.

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 02:12


Il était une fois une petite fille. Une petite fille seule car ses parents étaient toujours en voyage d'affaire.
Cette petite fille trouvait les autres enfants de son âge ne lui ressemblaient pas assez, alors elle ne les voyait pas.
Elle se sentait seule, jusqu'au jour ou elle vit un homme avec un regard de fou faire tomber une poupée. Une poupée en forme de chat.
Il la vit contemplant la poupée et lui dit "tu peux la garder si tu veux, je n'en ai plus besoin!". Il ajouta un petit rire sournois.
La petite n'en tint pas compte et pris la poupée. Cette poupée illumina sa vie. Elle se dit qu'elle avait enfin un ami qui lui ressemblait.
Depuis ce jour cette poupée devint tout pour elle.
Elle décida de l'appeller sunday, parce quand elle était avec elle la vie avait pour elle autant de saveur qu'un sunday.
Puis, un jour, elle trouva a l'intérieur de la petite poupée une boîte. Elle ouvrit la petite boîte, et alors, surprise.
Il y avait une photo d'un chat ressemblant comme deu gouttes d'eau à la poupée. A côté du chat posait un homme qui dégageait une aura sombre et mélancolique.
Il y avait aussi un mot sur lequel était écrit : "Je t'aimerai toujours, même si tu disparais". La petite était très intelligente.
Aussi décida-t-elle de faire une recherche avec le pc de ses parents. Elle regarda sur le site du JT. Sur les informations récentes, elle trouva quelque chose qui la surprit.
Elle lut alors à haute voix : "27 avril 1984, la mère d'un jeune homme fut tué.
Le jeune homme recut par la poste une lettre qui lui dit de placer son chat dans la boite au lettre si il ne voulait pas être tué à son tour.
Le chat fut torturé et tué. On raconte que le criminel aurait utilisé la peau du chat pour en faire une poupée." La petite se suicida.

 

(Bon ok j'avais la flemme de continuer l'histoire alors j'ai du trouver rapidement un moyen de la terminer x) )

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